En amour les chiens ne font pas des chats. 🐕

Rédemption - épisode 8

Tu le connais ce proverbe pas vrai?

Les chiens ne font pas des chats.

Tu vas comprendre cela dit pourquoi ça fait sens, surtout dans les relations.

J’étais en couple avec un homme qu’on appelera Julien.

Et Julien - à peu prÚs comme tous mes mecs lol - avait sa famille en métropole.

Il souhaitait leur rendre visite durant ses prochaines vacances, et me prĂ©senter par la mĂȘme occasion.

Aucun souci pour moi. Au contraire, j’étais enthousiaste.

D’abord, parce que je suis genre la belle fille idĂ©ale - et j’adore qu’on me le confirme (MDR modestie bonjouuur 😅).

Ensuite, parce que la famille c’est important à mes yeux, alors autant y aller franco.

Nos billets d’avion sont bien vite pris et en peu de temps, me voilĂ  dans le Sud de la France Ă  dĂ©faire ma valise dans la chambre d’ado de Julien.

Je fais rapidement connaissance avec mon beau pĂšre, qui nous accueille chaleureusement, et les soeurs de mon ex.

Pour ma part, qui dit “vacances” dit “dĂ©tente” : je suis Ă  l’aise et joyeuse, avide de vouloir connaĂźtre les autres.

Julien, lui, troque son tempérament généralement cool pour de la rigidité.

Il a été élevé à la dure par son pÚre. Il devait obéir sans se plaindre, sous peine de punition corporelle. Enfant, il allait dans la cave chercher le martinet que son pÚre utilisait pour le punir. Il vivait dans la peur.

J’ai de la compassion à ce moment-là.

Il revivait tout ça. Etre rigide, c’était un moyen de se plier aux rĂšgles pour ne pas gĂ©nĂ©rer de conflits.

Peine perdue
 Tout a vrillĂ© un soir oĂč on ne s’y attendait pas.

Repas traditionnel, l’ambiance est Ă  la fĂȘte, quelques cousins sont lĂ  pour l’occasion.

On mange, on discute haut et fort, les gens s’alcoolisent un peu
 beaucoup.

Une conversation entre Julien et une de ses soeurs prend une mauvaise tournure.

Ils se hurlent dessus devant les autres.

Personne ne lĂšve le petit doigt.

Ils sortent carrĂ©ment s’expliquer : je vois la soeur balancer une biĂšre vide aux pieds de Julien - que je retiens de toutes mes forces d’aller lui en coller une.

Le papa ne rĂ©agit pas, il assiste Ă  la scĂšne d’un oeil presque satisfait.

Je vois de la colĂšre, de la rage, de la frustration.

Je vois une gestion de conflits vraiment pourrie.

Je vois CLAIREMENT une famille qui dysfonctionne.

Le lendemain au petit matin, aprÚs 3 petites heures de sommeil suite à un conflit qui nous a tenu éveillé toute la nuit
 Mon constat est posé.

Je dis à Julien que je n’aime pas ce climat familial : j’ai peur de toutes ces histoires.

A l’époque, sans pouvoir mettre les mots exacts dessus, je lui fais comprendre que c’est malsain. Je lui dis que je suis mal Ă  l’aise. Que ça n’allait certainement pas le faire, parce que comment j’allais me sentir en paix d’envoyer mes gosses en vacances chez eux? 😳

Je pense que mon discours lui a fait l’effet d’une bombe.

Il s’énerve, me reproche d’ĂȘtre complĂštement intolĂ©rante et enterre le sujet.

Je me remets en question. Il a certainement raison. Pourquoi me prendre la tĂȘte Ă  juger le succĂšs de notre histoire selon sa famille ?

(
)

Justement parce que la famille fonde qui on est.

J’y repenserai avec dĂ©goĂ»t le soir oĂč, quelques mois plus tard aprĂ©s une dispute, je me serai mangĂ©e une gifle en plein visage.

De nombreux critĂšres te permettent de savoir si une personne sera un partenaire sain.

Parmi ces critĂšres, il y a la dynamique familiale.

La famille, c’est notre socle. Notre conditionnement. Et ce qu’on a vu faire naturellement dans la famille se reproduit partout ailleurs.

Un pÚre violent qui ne sait pas gérer les conflits, ça donne des enfants violents qui ne savent pas gérer les conflits.

Les chiens ne font pas des chats.

Et bien souvent, quand on rencontre quelqu’un, on ne sait pas quelles casserolles cette personne traüne.

En vrai, on ne se pose mĂȘme pas la question.

Pourtant, en connaissant les critĂšres qui permettent d’identifier un partenaire sain, on peut s’éviter de souffrir ou de ne pas rĂ©agir quand, bien malgrĂ© nous, une personne nous fait du mal.

Dans la 3e partie de mon accompagnement personnalisé, 2 sessions sont consacrées à ces thÚmes :

  • identifier un-e partenaire sain (je te parle des critĂšres auxquels ĂȘtre attentif-ve, comme ça, plus moyen de passer Ă  cĂŽtĂ©)

  • devenir un-e partenaire idĂ©al-e

Je ne veux plus te laisser dans l’incertitude ou Ă  la merci des rencontres qui crĂ©eront plus de mal que de bien.

D’un cĂŽtĂ©, je suis consciente que ces expĂ©riences lĂ  sont celles qui nous forgent et nous permettent de faire plus attention. Ce sont des leçons.

Mais d’un autre, je sais aussi que si tu es ici, tu t’es dĂ©jĂ  mangĂ© assez de leçons - tu veux Ă  nouveau ouvrir ton coeur.

En travaillant avec moi, je te donne l’assurance de construire dans le futur une relation stable avec une personne qui te fera te sentir BIEN.

Une personne qui va profondément sentir ta valeur,

Une personne qui saura gérer les conflits,

Une personne qui sera investie dans le fait de rendre votre relation toujours meilleure. đŸ€Ž

Si c’est ce que tu veux attirer, je t’attends ! On peut en discuter via un appel dĂ©couverte, ou bien tu peux me contacter sur Instagram pour me poser directement tes questions.

Je suis là pour t’aider à transformer tes relations et j’ai hñte qu’on s’y mette, ensemble.

A trĂšs vite, Eulalie.